Nouveau départ

Legolas secoua la tête retrouvant enfin ses yeux bleu.

- Oui, je l'ai de nouveau, je pense qu'on ne peux pas y échapper comme cela.

Il posa sa main sur le joue de Firelle.

- Peut importe ce qui arrivera pour moi, tu ce que je souhaite c'est que tu sois en sécurité.

Eliwood prit en main son bandeau.

- Le sorcier me l'avait enlevé, je pense que c'était pour me faire passer pour mort et attiser la colère de notre fils. On sait tout les deux qu'il ne peux pas canaliser le pouvoir de l'épée sans aide.

Invité

Firelle poussa un petit soupire.

-Elle est du genre collante, ta malédiction...

Elle sentit Legolas poser sa ma sur sa joue, lui disant qu'il pouvait lui arriver tout les maux du monde, tant qu'elle était en sécurité.

-Ne t'inquiète pas, il ne m'arrivera rien. Je vais juste réunir ceux que je connait et les convaincre de nous aider. Et s'il devait t'arriver malheur, je deviendrai quoi? Ce que je souhaite, c'est que tu sois la pour la naissance de notre enfant. Je ne veux pas me retrouver seul pour une telle épreuve.

*Ne t'inquiète pas, Vokun, c'est tout a fait compréhensible. J'espère que tu ne va pas en arriver a faire une très grosse bêtise, si tu vois ou je veux en venir? Etr pour se qui est de Firelle et moi, nous avons juste fait ce que nous pensions bien. Personnellement, je ne pensais pas que Firelle aurait eu la force de te tirer dessus mais il faut croire qu'elle a voulu t'épargner une souffrance plus grande que celle que tu endure déja. Il faudra aller quand même la voir, la rassurer car je pense qu'intérieurement, elle doit s'en vouloir.*

Vokun lâcha un soupire, laissant sa sœur attacher au mieux le bracelet qu’elle lui avait offert.

- Ce n’est pas que je ne veux pas c’est surtout que je ne peux pas... et pour plusieurs raisons. La principale tu la connais, jamais je n’aurais dû oser m’en prendre à toi... D’autre raison sont plus... personnel, basée aussi sur des promesses mais que je ne pourrais jamais accomplir maintenant.

Réussissant à trouver un mince courage, il porta son regard sur sa sœur.

- Si tu es débarrassée de Minyar, c’est une bonne nouvelle mais malheureusement... on ne pourra pas rester longtemps ensemble, tout du moins, pas longtemps. Une importante raison me force à retourner chez moi et je risque d’être passablement occuper. De ce fait, je ne pourrais pas rester à tes cotés.

Il finit par baisser la tête à nouveau, détourant son regard de sa sœur.

*Lindoriel... Je ne te demande pas d’être compréhensible ou non. Il y a des actes que je ne peux pas me permettre... et ce qui s’est passé en fait partie. Peu importe la bêtise que tu as en tête, je ne peux pas me permettre de faire quelque chose qui mettra ma vie ou la sienne en danger. Je te rappel que certaine obligation m’empêche d’agir de mon plein gré désormais. Pour ce qui est de Firelle, j’irais lui parler mais plus tard. Pour l’heure elle est avec le prince et je ne veux pas m’immiscer dans leurs conversation.*

Lyn acquiesça aux dires de son époux d’un signe de la tête.

- Si même moi je suis tombé dans la supercherie, il ne fait aucun doute que notre fils y a cru dur comme fer au début. Je ne serais pas étonné d’apprendre que les ravages que l’on avait vu avec le prince des elfes, à l’entrée de la crypte n’ai été causé par une explosion de colère de notre fils.

Jetant un rapide regard par la fenêtre elle reporta son attention sur son époux, tout en croisant les bras.

- Malgré qu’il ne soit pas encore tout à fait capable de canaliser le pouvoir de l’épée sans aide, j’ai tout de même l’impression qu’il y arrive petit à petit, surtout depuis qu’il a fait la rencontre de la petite Reverie. Je peux peut-être me tromper dans mon jugement mais, c’est l’impression que j’ai eu il y a peu et les observant tous les deux.

Kaho enlaça son frère pour le rassurer.

- Alors je partirai avec toi, je ne veux plus te laisser tout seul.

Elle sourit lui faisant un bisous sur la joue.

- Et je t'interdis de dire non.

- Je te promet que je le serai, même si je doit en ramper par terre.

Il sourit, mais il fut prit d'une violente migraine, il mit sa tête entre ses mains.

- Je ne sais pas qui sait, mais quelqu'un est en train de dire du mal de nous, le don d'Eru me le fait comprendre...

Eliwood hocha la tête remettant son bandeau à sa place.

- Dès qu'il aura fini ses galipettes, je l'entrainerai jusqu'à ce qu'il soit capable de maîtriser son épée même si on doit y passer nuit et jour.

Invité

Firele fut un peu rassurée mais il planait quand même un doute.

-J'ai confiance en toi, mais tu frôle la mort tellement souvent qu'une petite crainte subside.

Elle le vit se tenir la tête, comme prit d'un mal de crane, disant que le don d'Eru lui faisait savoir que quelqu'un disait du mal sur eux.

-Mmmm...Ce doit peut être être Ivy, vu comment tout le monde c'est séparé, elle doit être furieuse et nous donner tout les nom d'oiseau qui lui passe par la tête.

Elle se leva et prit une petite compresse froide qu'elle mit sur son front.

-Tiens, sa devrait aider.

*Vokun, je sais que tu ne doit pas aimer la pitié, mais je ne t'en fait pas. Ce n'est pas de la pitié que j'ai pour toi mais de la tristesse. Nous avons fait un gros travail ensemble et pour finalement en arriver la. Je m'en veux un peu de ne pas avoir fait plus. Peut être que si je t'avait aidé a renforcer ton esprit, les choses ne se seraient pas passé ainsi. Je suis désolée.*

Voyant Kaho l’enlacer d’avantage, Vokun posa une main sur la tête de sa sœur, essayait vainement de lui sourire.

- Je n’ai pas envie de t’ennuyer avec tout ce qui se rapporte à la royauté. De plus, je risque d’être pas mal occuper, il vaudrait mieux que tu restes avec ta mère et notre père à vivre la vie tranquille dont tu as toujours rêvée.

Il parvint tout de même à rire légèrement en écoutant sa sœur vouloir formellement lui interdire de dire non.

- Et depuis quand ce sont les plus jeunes qui prenne les décisions ?

*Cela n’a rien à voir avec de la pitié ou quoi que ce soit. Je suis et je resterais toujours plus faible que c’est connard de prêtres que j’ai tant haïs et maintenant qu’ils ne sont plus, tuer par un autre, jamais je ne pouvais respecter ma parole de vengeance envers ma mère. Je ne peux qu’accepter mon infériorité sans rien pouvoir changer à cela.*

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