[Quête! Le rituel

Ninian vint reporter son attention sur Saito, écoutant celui-ci qui semblait ce douté que malgré les apparences, elle serait prête à agir d’une façon ou d’une autre si un membre de sa famille devait se trouver en danger.

- Je suis un petit peu obliger aussi de m’imposer une certaine maitrise. Je pense qu’il ne serait pas très pratique pour nos amis si je devais devenir une dragonne en furie comme l’exemple d’avant. C’est avant tout une règle simple mais que je fais de mon mieux pour ne jamais oublier, préférant jouer sur la peur de mon entourage pour pouvoir calmer plus facilement un conflit qui semble être épineux, comme tout à l’heure avec les deux gardes qui pensait pouvoir tout se permettre avec Eathos.

Laissant par la suite les deux amis discuter, bien qu’il semblait y avoir taquinerie à la clé, Ninian vint prendre place près de la jeune Nyera, essayant de l’aider à ce calmé de son chagrin, bien qu’elle devinait que cela n’allait pas être simple, venant s’asseoir à côté d’elle, la prenant des plus délicatement possible dans ses bras.

- Allons ma puce... reprends-toi. Sôji ne semble pas t’en vouloir et vous êtes tout deux pardonné. Il ne faut pas trop t’en vouloir pour quelque chose que tu n’avais pu luter contre.

Frottant délicatement le dos de la jeune fille, elle finit tout de même par sourire, ce permettant un bien léger rire.

- Tu sais, Saito... Cela peu tout aussi bien être une possibilité. Il me semble l’avoir entendu prononcer une prière assez amusante avant qu’elle ne parte. Peut-être croit-elle vraiment que t’as dernière heure était arrivée.

Okita eu un léger soupire, finissant par fixer le plafond de leur chambre temporaire, gardant les bras croisé derrière la tête comme si de rien n’était.

- Lui en vouloir d’avoir agit dans mon dos alors que moi-même je lui avais caché la véritable gravité de mon état, serait un peu comme venir de foutre de la gueule du monde. Pas que cela m’embête mais quand même un peu vis-à-vis de Nyny.

Tournant légèrement la tête vers Nyera, il eu un petit sourire en coin.

- De plus, je ne peux que m’en prendre moi-même de m’être fait ainsi piéger. Bien que je m’étais douté qu’il y avait quelque chose d’étrange dans cette soi-disant demande d’examiner mon état dans un domaine plus poussé, j’aurais très bien pu me douter qu’il y avait autre chose. Pourtant, je n’ai fait que donner mon aval en leur faisant confiance.

Il finit tout de même par venir se forcer à se redresser, s’adossant un peu mieux dans son lit bien qu’il eu par moment quelque grimasse, déranger par les fils de l’opération qui commençait à le rendre mures.

- Allez Nyny, cesses de t’en vouloir. On a chacun notre pars de responsabilité dans l’affaire et les choses ont finit par bien se conclure. Comme je l’ai dis, nous sommes quittes et on repart sur de nouvelle base. D’accord ?

Gardant un petit sourire en coin de lèvres, il finit par se prendre le léger coup sur la tête de la part de son frère d’arme, venant poser sa main sur sa tête, là où son ami venait de le « frapper ».

- Maieuuuuh... On t’a jamais appris qu’on ne frappe pas un convalescent ?! Espèce de gros méchant !

Après cela, il fit mine de bouder, croisant les bras tout en déviant le regard, ayant tout de même un peu de mal à garder son sérieux, son petit sourire en coin cacher par le faite qu’il s’arrangea pour presque tourner le dos à son ami.

- Pour ça faut prier le bon dieu.

Il croisa les bras.

- Ce n'est pas l'envie qui me manque, mais pourquoi se salir les mains alors que d'autre peuvent le faire à ma place.

Il eut un sourire en coin, regardant certain nombre de tombe, des corps sortirent de terre.

- Tu es bien loin de connaître l'étendue de mes pouvoir sur ce peuple.

Nyëra allait répondre lorsqu'elle vie que son époux semblait avoir mal du coup que venait lui mettre Saito.

- Mamour...

Elle se débrouilla pour dévisser un morceau de métal dont était fait son lit. Elle ne priva pas pour donner une monstrueuse fessée à Saito au point d'en faire trembler le morceau de métal et d'avoir laisser une marche bien rouge qui se voyait à travers la tenue de Saito.

- Excuse toi tout de suite de lui avoir fait mal pour je te l'en file !

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Ninian observait les fait et geste de la jeune fille, intriguée par ce qu’elle faisait, ayant peut de comprendre ou est-ce qu’elle voulait en venir.

- Euh... Nyny ? Tu ne va quand même pas...

Peine perdu. Sa question n’avait même pas pu être posée au complet que le coup venait de partir net devant ses yeux, autant surprise par la réaction de Saito que de la tournure de l’événement.

- Est-ce que ça va aller Saito ??

Bien que surprise par l’acte de Nyera, elle observait le jeune homme dont le regard glacial lancé à son ami ne présageait rien de bon. Préférant les laisser s’entretenir elle se tourna vers la jeune fille, essayant de comprendre.

- M’enfin Nyny. Pourquoi avoir agit de la sorte ? Tu n’avais pas vu qu’ils plaisantaient entre eux ??

Okita ne vit rien venu du coup porter par Nyera, mais trouva bien étrange d’entendre derrière lui le son d’un objet plus ou moins en métal. Se retournant, il eu la bien étrange surprise de tomber sur un Saito plus qu’en colère, le foudroyant littéralement du regard, si bien qu’il en était plus que surprit de le voir ainsi dans cette état, ayant rarement souvenir de l’avoir déjà vu autant en colère.

- Euuuuh... Tout va bien ??

Se tournant ainsi complètement vers se dernier, il vint se frotter l’arrière de la tête sans dire quelconque mot, se contentant d’observer son ami puis Nyera, voyant entre les deux la fameuse latte de métal qui avait très certainement été à l’origine du bruit qu’il avait entendu peu avant. Faisant par la suite le rapprochement entre le son et l’humeur de Saito, il vint afficher un air autant surprit qu’ahuri, ne t’étant pas attendu à une tel réaction de la part de Nyera.

- Attends... Tu va me dire que...

Voyant l’air des plus glacial de son frère d’arme, il préféra cette fois faire silence, bien qu’il avait un peu de mal à croire ce qu’il venait de se passer. Passant tout de même son regard de son ami à son épouse, il finit par se gratter la joue, un peu embêter que la plaisanterie ait ainsi mal tourné, n’était de base absolument pas son but premier.

- Désolé. Je ne pensais pas que Nyny réagirait ainsi et encore moins au quart de tour.

Sauf qu’a sa grande surprise, et certainement pour éviter de déraper, Saito avait préféré s’éclipser sans attendre quelconque justification ou explication, n’ayant étrangement pas claqué la porte à sa sorti de la chambre.

- Hey attends ! Ne pars pas comme ça.

Un peu embêté que la plaisanterie qui avait bien commencé ait ainsi mal tourné, il n’était pas d’avis de laisser les choses ainsi, bien décider à remettre les choses au point. Ecartant ainsi la couverture qui le couvrait encore jusque là, il vint tout de même se forcer à se remettre debout, se sentant un peu chancellent au début mais parvenant assez rapidement à retrouver son équilibre.

Laissant ainsi les deux filles s’arranger entre elles, conscient que Ninian serait plus à même de discuter avec Nyera, il préférait pour sa part se lancer à la poursuite de son ami, se dirigeant vers la porte de celle-ci, n’ayant que faire de se faire rappeler à l’ordre.

- Attends, Hajime-kun, reviens ! Ce n’était qu’une petite face innocente. Tu ne va pas bouder pour ci peu. On a déjà vécu pire avant.

Soupirant, il se mit à la poursuite de son ami, bien décider à ne pas lâcher l’affaire.

Oropher : ça suffis Legolas !

Venu de nulle part, Oropher prit possession du corps de son fils le forçant à calmer les mort.

Oropher : Calme toi, mon fils. ça sert à rien de t'emporter de la sorte.

Oropher, par le biais du corps de Legolas, il regarda Eathos.

Oropher : Maintenant que tu sais la vérité sur son don, cesse donc de le provoquer de la sorte !

- Bah quoi faut bien le dérouiller un peu non ?

Elle soupira après ça. Elle s'assit sur le bord du lit.

-Vais demander qu'on m'isole le temps que les fils tombe, comme ça, il pourra être tranquille avec sa famille et ses amis sans qu'il y ait une enquiquineuse qui vienne tout saccager.

Elle se leva comme elle le pu, appelant une guérisseuse pour lui demander de l'isoler.

Guérisseuse : Je suis navrée, Nyëra, c'est plein, mais je peux vous attitré une guérisseuse qui vous accompagnera chez vous et restera avec vous le temps que vos fils tombe.

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