Contamination

Touka se laissa faire.

- ça tiraille un peu, mais je crois que ça a du un peu cicatrisé. Bien que je vais en garder les marques.

Elle garda un petit sourire.

- M'enfin, tant que j'ai la santé, le reste compte peu.

Den continua de nettoyer le surplus de la mixture qui avait servir pour soigner sa fille, refaisant un peu plus correctement les bandages de celle-ci.

- Ne t’en fait pas trop pour ça, vu que tu as tout de même hérité de certaine de mes capacité, tu ne garderas pas longtemps ses vilaine marques. Je pense qu’elles devraient avoir complètement disparu d’ici la fin de la semaine, voir deux tout au plus.

Relevant la tête, il lui accorda un petit sourire.

- Il n’y a pas que des inconvénient d’avoir un démon pour père, même si je t’avoue que les avantages sont rare.

- Si les papa démons sont tous aussi papa-poule que toi, il y a que des avantages.

Elle tourna le regard vers Ahkrin qui les regardaient.

- Faudrait peut-être que je fasse parvenir un mot à Vokun, pas qu'il s'inquiète, il dormait quand l'autre crétin qui squattait ton corps s'est fait passé pour toi.

Den haussa les épaules, amusé par les propos de sa fille.

- Allez savoir. Je ne pourrais pas te cité d’exemple car je n’en ai pas connu. Excepter père qui était assez spécial par moment, je n’ai pas souvenir que les démons en général n’ai que faire de ce qui les entours. Je dois certainement être une bien belle exception et pas dans le bon sens du terme je pense.

Ayant finit de rattraper les quelques bavures et d’avoir refait les bandages comme il le fallait, il revint s’assoir sur sa chaise, fouillant le contenu de la petite sacoche de cuir pour en récupéré les derniers éléments qu’il lui manquait pour le remède destiner au petit dragonnet.

- Je pense que cela pourrait être une bonne idée. S’il se réveille sans que tu sois à ses côté, allez savoir de quoi il serait capable. Même affaiblit, il serait bien capable de parcourir tout les royaumes à t’as recherche.

- Vais essayer de lui faire une missive, mais hors de question qu'Ahkrin fasse le messager, pas après ce qui c'est passé.

Une fois les bavures de son frère rattrapée, Touka se redressa, s'appuyant contre la tête de lit.

- On peu demander à l'autre type derrière la porte.

Den se contenta d’un léger signe de tête, voyant qu’au moins cette fois les deux était du même avis.

- Il ne vaut mieux pas non. Il est encore en convalescence tout comme toi, donc je préfère limiter les dégâts.

Ayant finit son remède, il vint verser le contenu de sa fiole dans un petit bol qu’il tendit vers le petit dragonnet.

- Tant qu’on y est, viens aussi boire ton remède pour te remettre complètement de cette mauvaise histoire. Autrement, suffit de lui demander, peut-être qu’il acceptera. Je t’avoue que sur ce point là, j’ai beau l’avoir connu, ma mémoire me joue des tours donc... autant dire que je ne sais pratiquement rien de lui.

- Je jouerai des charmes s'il le faut.

Elle sourit, finissant par se lever du lit pour aller chercher de quoi écrire.

- J'ai pas souvenir qu'il m'ait dit son nom.

Ahkrin renifla d'abord le contenu du bol, avant de la laper jusqu'à la dernière goutte.

Touka faisait sa lettre comme elle le pouvait, la main qu'elle utilisait pour écrire était au abonnée absente pour le moment.

- J'espère qu'il va réussir à lire.

Malgré qu’il savait pertinemment que cela était une plaisanterie, Den afficha malgré lui une mine sérieuse.

- Même pas en rêve veux tu...

Soupirant par la suite, il laissa le petit dragonnet se repaitre de la moindre goute de son remède qu’il ne semblait pas trop rechigner à avaler.

- Bon au moins avec ça, tu seras totalement remit sur pieds en moins de temps qu’il n’en faudra pour le dire.

Accordant une petite caresse sur le dos du petit dragonnet, il se retourna vers sa fille.

- Je vous laisse faire les présentations, sa serait mal poli de ma part autrement.

Touka plia sa lettre la mettant dans une enveloppe.

- Je vais le chercher alors.

Elle ouvrit la porte de la chambre.

- Excuse moi, j'ai un service à vous demander.

Invité

Geralt était rester assit, appuyer contre le mur à côté de l'ouverture de la porte, il était assit en tailleur, il s'était plongé dans une méditation.

- Tu peux me tutoyer.

Il rouvrit les yeux, tournant la tête vers la jeune fille.

- Qu'est-ce que je peux faire pour toi ? Joli demoiselle.

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