Contamination

Touka conduisit vokun jusqu'à au lieu désert, elle posa sa veste sur un rocher.

- ici on sera tranquille.

Elle prit son livre.

- j'ignore comment mais j'avais réussi à t'appeller Setsugekka sans la faire disparaître, mais également à retenir mes lames comme pour ce qui c'est passer avec sanosuke. Je pense que j'ai agit sous la pression du danger, j'aimerai bien essayer avec Seiryuto, si tu veux bien.

- laisse lui un peu de temps.

Elle ferma les yeux savourant cette caresse.

- Ca a un rapport avec le petit qui est sous le lit ? Ahkrin.

Elle rouvrit les yeux, frisonn un peu.

- vais aller me sécher les cheveux le temps se refroidit.

Suivant Touka, Vokun réfléchissait à certain détail, observant la zone quand il finit par stopper sa marche, la jeune fille faisant savoir qu’ils étaient arrivés à bon port.

- Zone calme et tranquille. En effet, on ne risque pas de déranger grand monde par ici.

Croisant les bras, il observa la jeun fille d’un air intrigué, bien qu’il la fixa d’un air dubitatif lors de ses affirmation.

- Tu compte sérieusement me demander de refaire pareil alors que tu m’as clairement fait comprendre que tes lames étaient dangereuses pour toi ? Non mais tu veux te payer ma tête ou quoi ?? Je suis venu pour t’aider, pas pour te mettre en danger.

- Si c’est que ça, je lui laisse le temps qu’elle veut, de toute façon, je ne me mêlerais plus des histoires de personne. Si c’est pour qu’on me tienne tête ou qu’on me reproche ma conduite à tout bout de champ, cela ne vaux pas la peine de se fatiguer.

Soupirant légèrement, il leva la tête au ciel, faisant mine de fixer le placer.

- Pff, celui-là... En quoi ça aurait un rapport avec cette petite boule d’écailles ? Je ne suis pas son père que je sache.

Néanmoins, il relâcha prise sur son épouse, laissant celle-ci allez un peu se sécher les cheveux, gardant un petit sourire en coin.

- Bonne idée. Il serait dommage que tu prennes froid à nouveau.

Touka sourit.

- shishio peut dévorer mon âme. Mais chacune de mes lames ont leur propres capacités.

Elle ouvrit le livre à la bonne page.

- je sais pas si tu comprends l'hylien, mais Seiryuto ne me fera quelque chose qu'à partir de la vingtième fois que je l'empêche d'être invoquée et à part me mettre un paire d'aile bleue dans le dos elle ne va pas dévorer mon âme.

Elle releva la tête.

- on tante le coup ?

Elle donna un baiser à son compagnon avant d'aller chercher un linge et se sécher ses cheveux.

- tu sais, en criant sa n'arrange pas les choses, suffis juste d'être ferme et si sa suffis pas laisse les faire leur expériences. Sa sert pas a grand chose d'être toujours derrière elle.

Elle mît son linge sur la tete se frictionnant pour se sécher.

- elle va assez venir vers toi si elle trouve pas de solution. Je ne veux pas t'enfoncer mais juste de la laisser faire ses propre expérience et rien n'empêche d'être là pour la conseiller, apres qu'elle écoute ou non c'est son choix.

Vokun écoutait les explications de Touka, se grattant l’arrière de la tête.

- Mouais... Entre nous, j’ai déjà du mal avec l’elfique classique alors l’hylien... tu m’en demande un peu trop.

Soupirant, il finit par croiser les bras.

- Je ne veux pas mettre t’as paroles en doute, mais bon... mêmes des ailes bleu sa parais tout de même étrange. Néanmoins, si tu me promets de faire attention et que tu ne risque rien, autant tenter le coup.

Den répondit au baiser de son épouse, laissant celle-ci filer prendre un linge par la suite.

- Ferme ou non ne change plus rien du tout, autant les laisser faire comme bon leurs semble mais ne compte pas sur moi pour ramasser les pots cassé par la suite.

Il finit par poser les coudes sur son bureau, se tenant le front.

- Le problème c’est que quand je lui laisse le choix de faires ses propres expérience, elle me supplie presque de l’aider et quand je viens l’aider elle m’envois bouler... Comment veux-tu que j’agisse par la suite ? Rien que là, elle préfère se débrouiller seule alors qu’elle est parti en pleure quand je lui ai annoncé qu’il serait mieux pour toi d’être dans un lieu calme et tranquille.

- Fait moi confiance d'accord ?

Elle sourit,

- Allez, quand tu te sens prêt, appelle ta lame.

Elle se mit en tailleur, se tenant prêt à retenir sa lame.

- Peut-être qu'elle a simplement besoin de sentir notre présence.

Elle sourit, gardant son linge sur l'épaule.

- Tout comme moi, je suis complètement perdue quand t'es pas là. C'est aussi compliqué après tout ce temps éloigné de l'un de l'autre. Elle a peur de nous perdre, c'est pour ça.

Elle se leva, regardant par la fenêtre.

- On peu prendre un moment tout les trois et qu'on pose les choses à plat peut-être que ça s'arrangera.

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