De retour

- Heisuke.

Elle sorti la boite de son sac.

- Elle contient l'agressivité qui lui faisait perdre la tête, je l'ai scellée tout comme la clé.

Elle posa la boîte devant elle.

- Sano, il faut vraiment que tu t'impose une limite, un peu plus et tu y passais, faut faire attention avec ton mana faut pas l'utilisé à tord et à travers, d'accord ?

- Il lui était arrivé quelque chose à nouveau?

Devenant d'un coup plus sérieux, il fut tout de même rassuré d'apprendre ce que Seika avait fait pour lui venir en aide.

- Ah? Au moins ça. Il sera certainement un peu plus tranquille comme ça.

Néanmoins, il finit par soupirer tout en se frottant l'arrière de la tête.

- Je sais que parfois j'exagère un peu, mais je ne m'en sert pas à tord et a travers pour autant. Les fois ou je m'en sert sont principalement pour soigner soit l'un de tes frères, soit ceux qui sont vraiment en danger. Néanmoins, je ferais plus attention à l'avenir.

- Je sentais un trop plein d'agressivité en lui.

Elle rangea la boite dans ses affaires, avant de prendre les main de Sano.

- Je ne veux plus te voir dans cet état, promis ?

Elle le regarda droit dans les yeux.

- Met plus ta vie en jeu comme ça, qu'est-ce que je ferai sans toi moi ?

Sano ne pu s'empêcher de soupirer, venant se frotter le front.

- Certainement encore un coups des autre crétins, enfin s'il va mieux c'est le plus important.

Laissant la jeune fille ranger la dites boîte, il fut tout de même quelque peu surprit de la voir lui perdre les mains.

- Promis. Je ferais plus attention à l'avenir et n'insisterai pas si je suis proche de mes limites.

Néanmoins, il fut presque agréablement surprit de voir qu'elle se faisait autant de souci pour lui.

- Il est vrai que je donne un peu plus d'importance a la vie des autre qu'à la mienne mais... vu que cela t'attriste a chaque fois, je ferais en sorte de faire bien plus attention a l'avenir et de moins risque ma vie de la sort. Ce n'est absolument pas voulu que tu t'inquiète et si ma conduite en est la cause et bien je ferais en sorte de corriger c'est quelque petites détail. Cela te conviens comme réponse?

Seika fit mine de réfléchir.

- Est-ce que ça me conviens...cruelle question.

Elle eut un sourire au coin.

- Viens par là.

Elle l'attira à elle venant l'embrasser.

Sano eu un léger rire en voyant l'air pensif de Seika.

- Ne viens pas me dire qu'il y aurait d'autre contraintes que j'ignore?

Bien qu'un peu surprit au début car ne s'y attendant pas, la réponse qu'il du fut un tendre baiser auquel il ne manqua absolument pas de répondre.

- Très agréable façon de ce faire pardonner son ignorance.

- Parce que tu crois que je vais me contenté que de ça toi ?

Déposant un doux baiser, elle se releva.

- Mais avant, autant s'assurer d'être tranquille.

Elle alla verrouiller la porte.

- Ainsi nous ne seront que nous deux.

- Hum... je ne sais pas. Que désirerais-tu d'autre?

Tout en savourant ce doux baiser, Sano eu tout de même un sourire en coin, suivant la jeune fille du regard.

- Niveau tranquillité, je dirais même qu'on en manque pas. Tout le monde semble d'être éclipser pendant mon petit roupillon.

Observant les fait et geste de la jeune fille, il afficha une mine amusée.

- Je suppose que je vais devoir me faire pardonner par une toute autre méthode, c'est cela?

Seika eut un sourire au coin.

- Ils t'ont entendu ronflé du coup ils sont tous partit en courant.

Elle eut un petit rire amusée devant son ânerie. Elle attrapa Sano par le col de sa tenue l'embrassant langoureusement.

- Je ne te le fais pas dire.

Sano ne pu s'empêcher de rire.

- Même quand il m'arrive de picoler sans retenu, il m'est impossible de ronfler et au combien certain savent que j'affectionne tout particulièrement le saké.

Il ce prêta tout de même au jeu quand Seika vint le prendre par le col pour lui offrir un bien langoureux baiser. A cela, il ne ce priva pas pour refermer son étreinte sur la jeune fille, passant les mains autour de sa taille tout en répondant tendrement à ce langoureux baiser qu'il préféra faire durer autant que possible.

- Autant en profiter alors, vu que nous ne sommes que tout les deux, comme à l'époque ou tu veillais sur moi, sauf que cette fois, c'est à moi de prendre soin de toi.

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