Vu comme un monstre

- c'est bien le nom qu'on m'a donner.

Il soupira s'appuyant contre le mur.

- Eikichi non plus c'est pas courant.

Il croisa les bras.

- si sa dérange je peux toujours mettre les voiles

Eikichi ne pu s’empêcher de rire devant l’attitude du jeune homme.

- C’est surtout que je me surprends d’entendre venir se nom de la bouche d’un jeune homme sorti de nulle par...

Croisant les bras derrière sa tête, il se fit pensif.

- Alors que le dernier connu à qui il appartenait, était un ami de ma famille.

Soupirant, il finit par hausser les épaules.

- Si tu veux partir, par donc, personne ne te retiens.

toma se fit craquer les os de ses doigts.

- Denroshi j'imagine, ou Ren ?

Il passa ses doigts sur sa boucle d'oreille un peu douloureuse.

- d'ici peu, un incident ce produira ici, mais visiblement tu ne tiens guère à ton établissement. Bon courage.

Il mis son sac se l'épaule, ne pouvant s'empêcher de se gratter l'arrière de son oreille.

Eikichi soupira, devenant plus sérieux.

- Les deux, bien que l’un fut le mentor de mon fils.

Venant se frotter le front, il ne savait pas vraiment comment réagir avec un tel manque de patience.

- Des incidents, il en survient souvent ici. C’est déjà pour cela que l’établissement à déjà été reconstruit par deux fois, si tu veux savoir.

Le regard de Toma devin doré en quelque instant avant qu'il ne se reprenne.

- Il n'y aurai plus rien à reconstruire.

Posé contre l'encadrement de la porte à regarder dehors, toma commençait à avoir des douleurs dans sa main tant que l'énervement l'avait pris.

- Si t'es...si malin...et vraiment connu ma famille...t'aurais su que mes boucles d'oreilles...n'en sont pas.

Observant le jeune homme sans broncher, Eikichi finit par soupirer tout en levant les yeux au ciel.

- Et toi, si t’était un tant soi peu aussi malin que tu me le reproche, tu saurais avant tout que plus tu céderas à ta colère, pire cela sera pour ton entourage.

N’y allant pas par quatre chemin, il montra la porte à Toma.

- Donc, si tu ne veux pas me faire le plaisir de te calmer, fiche le camp d’ici avant de mettre Ren en danger ainsi que tous ceux qui sont hébergé dans cette taverne ! On a déjà assez de mal en se qui concerne les informations pour retrouver son époux sans qu'un gamin venu de nul par sème le chaos en prétendant apporter des mise en gardes.

- tu crois que c'est en parlant ainsi que ça va me calmer ?!

Toma frappa le mur laissant qu'un grand trou.

- c'est en agissant ainsi que tu la condamne !

Il regarda l'escalier, se tenant le poignet qui lui faisait de plus en plus mal, il se dirigea vers celui ci.

- C'est bon, dégage.

Eikichi vint se placer devant Toma pour lui interdire d’emprunter l'escalier.

- C'est avec une attitude irresponsable comme la tienne que tu cherche à la condamné. J'ai accepter de te laisser entrer à la seul condition que tu ne créer pas de problème mais là, de part ta conduite, tu fais tout le contraire en plus d’endommager les lieux.

toma grogna, attrapant d'une poigne de fer l'homme par la gorge.

- dégage !

Comme un vulgaire sac à ordures. Toma l'envoya derrière lui, avançant un pas lent vers ce dernier.

- tu ne connais rien de ma vie de mon vécu. Je ne connais rien du tiens non plus et je m'en bat les claquettes.

Il tendit sa main devenue griffues vers son interlocuteur.

- j'ai une mission à accomplir et ce n'est pas une petite couille molle qui va m'empêcher. Au pire, Grand-père s'occupera de ton cas.

Eikichi fut dans un premier temps surprit par le soudain changement du jeune homme, reconnaissant là certain élément bien caractéristique de son vieille ami. Malgré son premier vol plané, il se rattrapa encore assez facilement.

- En effet, comme tu viens si bien de le dire, je connais pas ton vécu, tu connais pas le mien et on s’en bas les claquette chacun son tour d’en connaitre d’avantage.

Se redressant tout en époussetant sa tenu, il finit par soupirer, bien lasse, tout en croisant les bras.

- Ce que je sais pas contre, c’est que tu n’es vraiment qu’un sal gamin qui se croit tout permit sous prétexte qu’on lui a donné une « mission ». Maintenant, soit un gentil petit et tu va me faire le plaisir de te calmer, on je ne donne pas cher de tes fesses au prochain écart de conduite.