débordée, sans espoir

- comme quoi des partie d'échecs à en plus finir avec Papy ont été bénéfique.

Il eut un petit sourire, venant tout de même en aide à son oncle.

- Tant que c'est pas de fermer nos bouches concernants tes "liens", ça me va.

Il attrapa deux cuillères, en tendant une à sa tante.

- ça fait étrange d'être en famille...

Takuma était un peu embêter par la situation.

- Désolé.

Se mettant à sa place, il regarda les deux plus jeunes.

- He bien, Toma, tu n'as pas tord, dans la mesure du possible, je pense que c'est préférable pour le moment de ne rien dire à Den concernant ce qui se passe avec Legolas.

S'attendant à leur réaction, il ne perdit pas une seconde de plus.

- J'aimerai pouvoir le lui en parler moi-même.

Yuriko eut un petit rire amusé, comme nostalgique d’une époque révolue.

- C’est vrai que père aime bien les partie d’échecs. Il y jouait de temps en temps à l’époque avec Den, quand il nous en apprenait les règles, quand nous vivions encore sur le domaine familial.

Observant tour à tour Toma et Takuma, la réponse n’avait pas mit long à être donné par le plus jeune, faisant hausser les épaules à la jeune fille, ne pouvant s’empêcher de rire d’amusement, en dépit de la situation.

- Je pense que l’avis général a été donné mais, je pense pouvoir quand même te donner une chance de t’expliquer quant à ta demande.

Acceptant la cuillère que lui tendait Toma, elle le remercia puis se fit passablement pensive.

- C’est peut-être étrange et nouveau pour toi mais... fait en sorte de ne jamais oublier cette sensation nouvelle. Même pour nous qui vivons un peu libre, il nous arrive rarement de pouvoir être tous réuni... Entre grand-frère qui est souvent prit par ses engagements et ceux qui le traques, ceux qui me traquait avant et maintenant cette histoire de sort envers Takuma... Les moments de calme et tranquillité tous réuni sont très rare mais n’en devienne que plus précieux encore.

Se faisant un moment silencieuse, entamant son repas, elle observait Takuma du coin de l’œil, s’attendant à voir Toma réagir directement à la fin de ses propos, se contentant pour sa part d’un soupire.

- Tu sais bien comme moi que grand-frère est introuvable à l’heure actuel. Il est pire qu’une ombre. Ce n’est pas pour rien qu’il en a obtenu le titre, mais... j’avoue que cela m’inquiète quand même un peu à l’heure actuelle... Aux dernières nouvelles, il avait dans l’idée de retourner voir père. Nous l’avions alors reconduit dans se monde avec un ami mais... je n’ai plus eut de nouvelle de sa part depuis. Je ne saurais dire s’il est encore par ici, s’il est retourné auprès de père, ou s’il lui est arrivé quelque chose à notre retour, car nous sommes tous apparu dans un coin différent malgré notre départ ensemble...

- Ce qui expliquerait que j'étais l'un des seul à parvenir à le battre.

Il soupira écoutant les deux.

- Il vous manque se fameux domaine pas vrai ?

Après cela, il écouta son oncle.

- Je ne dirais rien tant que cela ne dépasse pas le raisonnable

Pensant à ce moment unique qu'ils traversaient ensemble. Il baissa la tête.

- A vrai dire, je ne m'y attendait pas, d'être accepter aussi facilement, arraché bébé à ma mère, élevé par papy jusqu'à maintenant, j'étais parti dans l'idée que j'allais pas être accepter, à cause du fait que je ne contrôle pas mes pouvoir, ni cette force qui grandit en moi.

- pourquoi quand je vous dit sa, personne ne me crois ?

Il prit une petite mine boudeur, mais se reprit bien vite.

- Allons Toma, on descend de ton grand père qui est notre père, on ne peux que t'accepter. Personne d'entre nous ne va te voir comme un monstre. N'est pas yuriko ?

Yuriko baissa légèrement la tête, soupirant un peu.

- Ce n’est pas qu’il me manque mais... c’est là-bas que j’ai grandis. Nous étions tranquilles au calme et en sécurité. Mais c’est aussi là-bas qu’est aussi notre frère Taï...

Mangeant tranquillement son repas, elle haussa légèrement un sourcil devant les propos de Toma. Pensif dans un premier temps, elle finit par rire.

- Tu sais, nous avons tous connu un vécu plus ou moins similaire. Grand-frère, Taï et moi n’avons vécu que tout les trois à la mort de nos parents. Père a du retourner diriger le royaume et ne pouvait plus revenir sur terre. Den est celui qui s’est toujours occuper de nous, depuis. Quoi qu’il se passait ou quoi qu’on lui demandait, il faisait toujours de son mieux pour toujours être la pour nous. Je pense que... Takuma à aussi du vivre une vie difficile de son côté.

- selon grand père, j'étais destiné à tuer mes parents parce que le pouvoir état trop grand pour moi. C'est pour ça qu'il m'a arracher à ma mère pour me remplacer par un autre bébé.

Il soupira.

- qu'est ce qu'il est devenu ce domain ?

- abandonné pour être éduquer par un forgeron que j'ai tuer volontairement après avoir appris la vérité.

Finalement Takuma entama son repas.

maintenant je travail ici en aidant les autres du mieux que je le peux si on oublie mes entrave.

Écoutant l’explication de Toma, Yuriko ne pu s’empêcher de rire.

- Désolée, je n’ai pu m’en empêcher mais... on peu dire que tu es vraiment le portrait craché de grand-frère. Lui aussi a pendant longtemps eut bien des problèmes pour parvenir à contrôler le trop grand pouvoir hériter de père. Sauf que... il a finit par en perdre le contrôle mais... a cause d’un membre de la branche parallèle de notre famille, un peu trop avide de pouvoir...

Terminant son plat, elle finit par déposer son bol à côté d’elle, se faisant pensif.

- Le domaine familial est certainement laisser à l’abandon, mais c’est plus sûr ainsi pour protéger Taï qui y séjourne encore. Nous y retournions encore de temps en temps avec grand-frère mais... depuis notre arrivée ici, nous n’y sommes plus retournés. Personne à par nous trois, n’y vivait. On se faisait ainsi un peu oublier du reste du monde, un peu comme si c'était un jardin secret donc personne ne connaissant l’existence.

- je me dit qu'il a fait ce qu'il fallait mais d'un autre côté, je ne cache pas que je lui en veux de m'avoir éloigné de ma famille.

Il soupira, écoutant chacun ensuite dans le silence restant en pleine réflexion intérieur.

* il faudrait que j'étudie la question...

Il regarda sa tante et son oncle, avec un léger sourire.

- merci de m'accepter comme je suis.