Contamination

Touka c'était échauffée jusqu'à maintenant, mais elle compris assez vite que sa mère ne l’appellerai pas, elle sortit des cuisines, voyant personne de sa famille. Touka ne savait pas vraiment comment prendre la chose. Elle décida de sortir dans la cours, s'asseyant sur le perron regardant le ciel. Elle rêvassa jusqu'à ce qu'elle voit une ombre s'approcher d'elle, une jeune femme.

- C'est toi Touka ?

- Oui, c'est mon nom ?

Sans qu'elle ait le temps de réagir, Touka finit à terre tandis que la jeune femme la passa à tabac, armée d'un coupé l'agresseuse la taillada de façon à ce qu'elle ne soit plus reconnaissable.

- ça t'apprendra de voler un enfant !

La femme n'hésita pas à marcher sur Touka avec ses talons aiguilles, mettant bien tout son poids sentant sans mal les côtes de Touka céder. La tortionnaire rentra dans la taverne, fermant les rideaux pour que nulle voyent Touka à terre et en sang. Elle se mêla à la vie de la taverne comme si de rien n'était.

Den eu un petit rire amusé devant la provocation de son épouse.

- Pour l’heure, j’aurais presque envie de dire que je suis un peu partager entre deux envie...

Néanmoins agréablement surprit par la surprise offerte par son épouse, il du prendre une grande inspiration pour se reprendre en main.

- Continue comme cela est tu risque bien vite de te retrouver avec de la chantilly sur le nez... Mais si cela devait arriver, j’aurais encore de la réserve pour te satisfaire pleinement une dernière fois après cela.

Ren levant son indexe, prenant un air nargueuse.

- Alors garde ta petite chantilly bien au chaud, tu rempliras ton petit gâteau à l'en faire déborder quand ta petite boulangère te l'aurai demander.

Elle lui donna une petite pichenette sur le nez.

- Pas avant.

Elle l'embrassa venant jouer avec la langue de ce dernier.

Den se contenta d’hocher légèrement la tête, ne pouvant s’empêcher de rire.

- Ah parce que maintenant ma petite boulangère veux garder la chantilly de son gâteau pour un peu plus tard ?

Suite à la petite pichenette, il n’hésita pas a venir enlacer son épouse dans ses bras, répondant avidement à son doux baiser, jouant avidement avec la langue de celle-ci tout comme elle.

- Il me tarde de remplir les fourneaux alors. Tout en espérant que ma petit boulangère préféré saura apprécier la pâtisserie à ça juste valeur, car je suis encore bien loin de ma limite, pour ton bon plaisir.

D'humeur à jouer le jeu, il se mit dans l'idée d'attendre l'ordre de son épouse pour répondre à ses attentes, ne trouvant cela qu'encore plus excitant pour eux deux.

- Faut bien battre la crème, autrement elle retombe.

Elle sourit, mettant ses bras par dessus les épaules de son époux.

- Et c'est mon travail de bien la battre, autrement le dessert sera raté.

Elle feinta un baiser pour venant donner de suave coups de langue sur le torse de son compagnon.

- ça serai dommage que ta petite boulangère rate son travail, n'est-ce pas ?

- Hum... Je ne suis pas très douer en ce qui concerne les pâtisseries mais... je suppose que ce que tu dis est vrai.

Souriant, il profita de cette douce proximité pour venir mordiller le cou de sa belle.

- Si c’est ton travaille, j’attends de voir ce dont tu es capable.

Finissant par relever la tête, il laissa ainsi champ libre au délicieux coup de langue qu’il sentait offert par son épouse.

- Il serait dommage de laisser le moule refroidir, tu ne pense pas ??

- ne t'en fais pas, il est bien graissé.

Elle sourit.

- Faut pas aller trop vite, il faut bien prendre le temps, autrement tout peu rater.

Elle s'écarta un peu. Prenant une bien enjôleuse.

- Et j'en suis loin d'en avoir terminé.

Elle le poussa d'un doigts sur le lit, se laissant tomber sur lui.

- Je l’espère bien, autrement je me ferais un plaisir d’aller chercher une bonne tranche de beurre pour remédier à cela.

Souriant en retour, il fit mine d’afficher un air curieux.

- Ah bon ? Pourtant, il me semblait que tu étais une pâtissière de grande renommée.

Ayant à peine le temps de se redresser un peu que Ren vint faire en sorte qu’il se retrouve à nouveau allongé sur le lit, réceptionnant aussitôt la jeune femme qui vint littéralement lui sauter dans les bras.

- Fait tout de même attention à ne pas abimer la marchandise, autrement le gâteau pourrait aussi être raté.

- Faut pas oublier la farine ma chère petite crème.

Elle sourit, venant doucement faire des va et vient sur son époux sans pour autant mettre l'atout de son compagnon dans sa petite fleur.

- La pâte est bien dure faut la ramollir un peu.

Elle lui tira la langue, avant de donner d’innombrable caresse, baisers et de temps en temps des petits coups de langues là où elle laissant des petites marques ses ses bisous sangsues.

- Je te l’ai dit, je suis très mauvais pâtissier. Je ne sais m’occuper que de pétrir la pâte et l’assaisonner de douce chantilly.

Savourant chaque caresse de son épouse, il se permit d’avoir les mains baladeuses, venant caresser les jambes de sa compagne, remontant vers ses fesses qu’il griffait affectueusement.

- Comment comptes-tu t’y prendre pour ramollir la pâte ? Hum ? Je serais bien curieux de t’y voir.

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