Contamination

Continuant son manège de caresses et mordillement, il ne vu pas venir le coup de son épouse et vint la mordre un peu fort au cou alors qu'elle lui avait un peu écrasé des bourses dans ça main.

Restant un moment silencieux, il s'immobilisa tout en quittant lentement la fleur de son épouse, entrent fun coup et brusquement en elle,l'écrasant presque contre le mur de la chambre, arborant un petit sourire en coin de lèvres, tout en lui léchant le cou.

- Madame veux jouer dans cette catégorie maintenant? Je ne te savais pas de cd penchant.

- Des petites facettes que t'ignore encore de ma personne.

Au lieu de laisser partir un gémissement de douleur lorsqu'il vint la clouer au mur, elle se mit à gémir de plus en plus fort de pur plaisir.

- Et franchement, la douceur au lit ça va 5 minutes, après on s'ennuie.

Den eu un léger rire d'amusement, caressant tout le flan de son épouse, s'amusant à passer la pointe de des griffes le long de la jambes de Ren qu'il tenait encore.

- Il faut croire que ses dernières années ou nous étions séparer t'aurais fait prendre goût à des tendance un peu plus de chez moi.

Voyante qu'elle semblait apprécier sa façon d'agir, il continua sur une même lancée, savourant chacun des gémissement de son épouse, alors continuait de mordiller son coup par pur plaisir.

Ren resta pas de marbre devant le traitement de son compagnon, elle s'écrasa contre lui, jouant à caresser la peau de son compagnon avec ses seins.

- Tant qu'il y a du respect ça me va. J'ai déjà vécu plusieurs viols ça m'a suffit.

Amusé, Den profita pleinement de la douce sensation des seins de son aimée qui se frottait contre lui.

- Pour quel raison ne te respecterais-je pas? Ce n'est parce que j'apprécie certaine extrémité propre aux mien que j'aime pour autant faire souffrir ceux que j'aime et encore moins quand il s’agit de ma moitié si précieuse à mon coeur.

Laissant sa main libre venir glisser le long des hanches de son épouse, il vint lui attraper l'autre jambe, la soulevant pour ainsi la plaquer contre le mur, passant les jambes de son épouse autour de sa taille, reprenant ses mouvement mais de façon plus subtile cette fois.

- Si je désirais te violer sur place, je ne me permettrais pas de m'amuser à te combler ainsi de plaisir. Je me serais contenter de te jeter sur le lit et de te prendre de la façon la plus violenta qui soit, même si tu en venais à me supplier. Hors... est-ce le ca?

- T'en fais pas je parlais pas de toi.

Elle se tut par la suite, elle croisa ses jambes dans le dos de son mari.

- Je sais que tu me respecte, j'aurai déjà mit une bonne droite si c'était quelqu'un d'autre qui aurai été ainsi avec moi, même en pleine partie de plaisir.

- Cela me rassure. Je pensais être tomber bien bas dans ton estime pendant un moment.

Venant lui voler un bien fougueux baiser, il accéléra subitement le rythme de ses mouvements avant de venir se bloquer en elle, relâchant avec force et dans un long gémissement de pur plaisir, son nectar au plus profond de sa belle rose, restant bien caler pour s'assurer qu'elle n'en perdrais pas une seule goute.

- Même si je parait brutal dans ma façon de faire, je ne cherche que notre plaisir commun.

Venant caresser le visage de son épouse d'une main, il lui offrit un tendre baiser, lui offrant tout de même encore le plaisir de quelques légère allée et venue pour la taquiner que d'avantage.

- Je parlais des prêtres...

Elle n'eut le temps de finirent sa phrase, laissant un long et doux gémissements l'envahir.

- et de mon patron...

Elle fit la moue, en donnant la suite des explications, elle câlinait son époux, comme gênée de dire ça.

- Je sais je te l'ai pas dit pour mon patron...j'avais peur et honte.

- Je l'avais bien compris, et pour ton patron, je l'avais aussi plus ou moins deviner. Ses actes n'était pas des plus innocent qui soit. C'est un détail qui ne trompe pas.

Gardant son épouse précieusement lovée dans ses bras, il vint s'écarter du mur pour venir l'allonger à nouveau sur le lit, tout en lui offrant un doux baiser.

- Le passé appartient au passé. Il n'est plus nécessaire de repenser à tout cela. Maintenant tu es mienne et à moi seulement et je ne laisserais plus personne oser poser une main sur toi.

Ren soupira.

- Les prêtres s'étaient rien comparer à mon patron. Toute les deux heures, il m'obligeait à "jouer" avec lui, j'ripostais, il m'enchaînait. Et même lorsque j'étais en livraison de bois, il m'appelait dans tout le village par mon prénom, comme lorsqu'on s'est retrouvé...

Elle passa ses bras autour du cou de son mari.

- J'essayais de t'appeler, à chaque fois que je le pouvais, t'es jamais venu.

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