Entre amoureux (PV Eliwood, Lyndis)

- Il y aura d'autre moment rien que pour nous deux, je te le promet.

Il sourit, délicatement, il se leva tenant sa femme dans ses bras, il la coucha sur le dos sur la buche.

- Laisse toi faire.

Il s'accroupi derrière elle à la hauteur de sa tête et tendrement, il se mit à lui faire un tendre massage du cou.

Lyndis ce permit un petit rire, observant son époux quand celui-ci lui promit qu’ils auraient d’autre moment de ce genre, rien que pour eux.

- Ah mais je n’en doute pas. Te connaissant cela m’aurais même étonnée du contraire.

Elle fut néanmoins curieuse de voir ce que lui préparait son époux quand celui-ci vint délicatement se lever pour l’allongée de dos sur la buche.

- Je te laisse faire, je te fais confiance. Je sais que tu ne feras que ce qu’il y a de mieux.

Laissant ainsi faire son époux, celui-ci vint lui offrir un tendre massage du cou, chose qui vint grandement aider la jeune fille à se détendre, était pour l’heure encore un véritable paquet de noues suite à toutes ses crises d’angoisse et autre inquiétude.

- Tu sais vraiment toujours comment t’y prendre toi. Au moins, cela n’a pas changé, c’est une bonne nouvelle.

Lyndis vint fermer les yeux, profitant ainsi de meilleure façon du massage qu’il lui faisait.

Doucement, Eliwood prit la rose qu'il avait sur l'oreille, il en prit une pétale et la passa sur le coup de son épouse remontant jusqu'à faire le tour de son visage.

- Pour toi, je ferai tout ce qui a de meilleur dans ce monde.

Frissonnant légèrement quand elle senti le pétale de rose lui passer sur le cou, elle ouvrit grand les yeux, fixant son époux en souriant de plus belle.

- Pour nous, mon amour... pour nous.

Sans lui laisser le temps de répondre quoi que ce soit, Lyndis vint passer sa main derrière la tête de son époux, le tirant vers elle et vint l’embrasser tendrement avec passion.

Eliwood sourit rendant son baiser à son épouse. Il passa ensuite ses main derrière la nuque de Lyndis. Mais alors qu'il allait lui masser les épaules. Une elfine vint lui prendre la main.

- On a besoin d'un chanteur...

Sans pouvoir donner de réponse, Eliwood fut trainer sur scène. On lui mit une guitare dans les mains. Reconnaissant les premières notes, il n'eut d'autre choix que de chanter, bien qu'il soit rouge de gêne.

Spoiler:

Si tu m'vois un jour astiquer mes souvenirs

Parce que j'verrais plus briller mon avenir

Si j'refais plus l'monde à chaque fois qu'je bois

Plus d'moral d'acier dans mes gueules de bois

Tue-moi

Quand tu commenceras à compter les jours

Qui séparent les fois ou j'te fais l'amour

Si tu me surprends à fermer les fenêtres

Parce que le bruit des gosses me monte à la tête

Tue-moi

Tu m'tueras si tu t'en vas

Simplement si tu t'en vas

Si tu m'vois avoir honte de mes anciens copains

Si je serre les fesses plus fort que les poings

Si j'deviens nouveau con et ancien battant

Si j'me révolte plus qu'entre deux calmants

Tue-moi

Si tu voies un jour que je m'économise

Si j'ai peur d'avoir froid quand j'donne ma chemise

Si tu m'admire plus parce que j'ai peur de t'perdre

Si t'as plus pour moi qu'cette tendresse de merde

Tue-moi

Tu m'tueras si tu t'en vas

Tout conn'ment si tu t'en vas

Qu'est-ce qui te prend où tu t'en vas.

Apparemment, Eliwood fut quelque peu coupé dans ses idées, conduit presque de force sur la scène par une elfine qui était venu le chercher, ne laissant comprendre que le faite qu’ils avaient besoin d’un chanteur. Observant le toute en riant légèrement, Lyndis vint s’asseoir sur la buche, n’en souriant que d’avantage de voir son pauvre mari devenir plus rouge que le vin alors qu’il se mit à chanter la chanson, accompagné par le reste de la troupe.

Gardant le silence, elle vint l’applaudir à la fin de sa mise en scène, se levant de sa place pour se diriger vers la scène, ayant eu une petite idée en retour. S’avançant vers l’elfine qui était venu chercher son ami, elle vint lui chuchoter quelque chose au creux de l’oreille. Celle-ci semblait accepter l’idée, acquiescent d’un signe de tête, tandis que Lyndis la remerciait d’un sourire avant de se diriger vers son mari.

Spoiler:

Je garde l'essentiel
Un respect que je sais éternel
Je dois plus qu'un merci
À celui qui a su combler ma vie
Car tu m'as guidé, vers mon unique destiné
Même inconsciemment, je te le dois depuis tout ce temps

Tu es toujours ma référence
Ma première influence
Le seul qui a su me mettre en transe
Je ne veux pas te perdre
Tu es toujours ma référence
Et je vais mal en ton absence
Si ma musique en perd son sens
C'est que je ne veux pas te perdre

Tu es l'amour de ma vie
Celui qu'on ne trahit pas
Celui qui n'a pas de prix
Tu es la force qui m’inspire
Ma peine en ta présence n'a plus aucun avenir
Et si je rêvais...
Tout parait tellement parfait
J'ai peur de me réveiller sans toi à mes cotés

Tu es toujours ma référence
Ma première influence
Le seul qui a su me mettre en transe
Je ne veux pas te perdre
Tu es toujours ma référence
Et je vais mal en ton absence
Si ma musique en perd son sens
C'est que je ne veux pas te perdre

Tous ces cris me hantent
Quand je suis seule
Ton amour me manque
Je vois de l'espoir dans ton regard
C'est à moi de te remercier cette fois

Tu resteras ma référence
Même dans mes silences
C'est toujours avec toi que j'avance
Mon public est là

Tu es toujours ma référence
Ma première influence
Le seul qui a su me mettre en transe
Je ne veux pas te perdre
Tu es toujours ma référence
Et je vais mal en ton absence
Si ma musique en perd son sens
C'est que je ne veux pas te perdre

Tu resteras ma référence
Même dans mes silences
C'est toujours avec toi que j'avance
Mon public est là

Tu es toujours ma référence
Je vais mal en ton absence
Si ma musique en perd son sens
C'est que je ne veux pas te perdre

Eliwood sourit, voyant son épouse le rejoindre, il fit comme il peut pour essayer de l'accompagner à la guitare. Dès qu'elle eut terminer sa chanson, il dû enchaîner avec une autre.

A toi qui marches longtemps

Quand la pluie fais rage

Quand partent les ans

Quand la rue te vole tes nuits

Quand c'est toujours dimanche tant pis ...

A toi qui cherches un abri

Qui donnerais tes mains

Pour un peu de travail

Qui essaies de rester fier

Quand tes chaussures s'écaillent ...

Y a toujours un poème

Pour le destin qui te blesse

Quelqu'un qui t'aime

Pour les regrets que tu laisses

Si tu peux rester le même

Toi qui changes tant d'adresses ...

Tu seras bienvenu chez moi

Bienvenu chez moi

Pour partager l'ivresse, les doutes, les peines et les joies

Bienvenu chez moi

Tu seras bienvenu chez moi

Si tu n'abandonnes pas

Si tu vaux plus que ce que tu crois ..

Souvent les lèvres sont sèches

Et les portes sont closes

Quand la ville s'endort

Quand le corps est fatigué

Quand la solitude brûle plus fort ..

A toi qui mérites mieux

Que des barreaux solides

Comme unique décor

A ces rires invisibles

Qui n'te réveillent pas quand tu dors ..

Y a toujours un soleil dans les larmes que tu verses

Et quelqu'un qui sait

Ta patience et ta tendresse

Toi qui restes fort et droit

Devant les murs qui se dressent ...

Oh, sois le bienvenu chez moi

Bienvenu chez moi

Sans or et sans promesse

J'ai tant à apprendre de toi

Bienvenu chez moi

Tu seras bien ...

Il ne termina pas sa chanson et embrassa tendrement son épouse malgré la foule.

Lyndis sourit en retour à son époux, voyant que celui-ci essayait au mieux de l’accompagner lors de sa chanson. Une fois qu’elle eut finit, elle l’écouta enchaîner sur une autre, bien qu’il semblait ne pas vraiment être décidé à la terminée en totalité, préférant venir l’embrasser. Lyndis ne se fit pas prier à son tour pour lui rendre son baisé, l’enlaçant tendrement, oubliant tout le reste autour d’eux, profitant pleinement de ce moment de béatitude rarement connu ses dernier temps.

Lassé de jouer les musiciens, Eliwood confia sa guitare de prêt à un elfe qui passait par là et entraina son épouse un peu en retraite.

- Je m'attendais à tout sauf à ça.

Lyndis rit tout en accompagnant son époux, amusée par la situation.

- Je pense qu’aucune de nous ne pouvais prévoir à l’avance ce qui allait se passé. Néanmoins, je me suis bien amusée, surtout que tu n’étais pas si mal que ça dans ton rôle de guitariste chanteur.