de retour

- Je ne vais rien t'apprendre en te disant que le meilleur moyen de détruire un pays reste encore et toujours de s'attaquer à la famille royal en premier, ou dans certain cas, s'attaquer directement au Roi.

Relâchant son étreinte sur Lyndis, "Ulairi" vint prendre place contre la fenêtre, observant la jeune fille tout en croisant les bras.

- De toute façon, même s'il faudra du temps, on finira bien tôt ou tard par savoir le pourquoi du comment de tout cela, car on ne détruit pas un royaume tout entier simplement par pur plaisir.

*Permet moi d'en douter... Des crétins finis qui avait la folie des grandeur, j'en au connu et il n'est pas toujours nécessaire d'avoir une raison valable pour déclencher une guerre...Et entre nous je ne serais absolument par surpris d'apprendre de ce crétin baigne dans le complot!

"Lyndis" préféra de ne plus rien dire, elle ne savait plus quoi penser de sa propre famille, elle regarda son fils, il était déjà père de famille, et elle priait pour qu'il ne suive pas le même chemin qu'Eliwood.

"Ulairi" préféra rester silencieux un moment, observant Lyndis qui semblait s'inquiéter pour quelque chose, n'étant apparemment pas capable de lâcher Roy du regard.

- Qu'est-ce qui te tracasse à ce point? Je t'ai rarement vu autant inquiète pour quelque chose ou quelqu'un. Est-ce que tu aurai peur qu'il arrive malheur à la petite ou bien as tu plutôt peur pour ton fils?

Il alla vers la petite fille de Roy, l'observant dormir paisiblement et totalement insouciante du reste du monde.

- Il faut te faire une raison. Tu ne pourra pas toujours être auprès d'eux pour les aide et il faut aussi qu'ils apprennent à se débrouiller par eux même sans toujours espérer sur un soutien externe. Je te l'accorde que c'est un peu cru de le dire comme ça mais cela reste avant tout une vérité immuable.

- J'ai peur que mon fils suive le même chemin que son père.

Elle sourit un peu.

- Mais j'ai confiance en lui, je sais qu'il ne le suivra pas, mais je ne peut pas m'empêcher d'y penser.

- Vu l'attitude de ton fils, je doute fortement qu'il finisse comme son père, déjà qu'il semble légèrement retissant a rester en sa compagnie, si j'ai bonne mémoire.

"Ulairi" appréciait plus de voir Lyndis avec un sourire aux lèvres, même léger, que de la voir se ronger d'inquiétude.

- Il est tout a fait normal pour une mère de se faire du souci pour sa famille, personne de te dira le contraire. Tu aime ton fils plus que tout, mais essai juste de lui faire un peu plus confiance, tout simplement.

- J'ai une confiance infinie en lui, comme j'en ai pour toi maintenant. Mais je ne peux pas m'empêcher d'avoir cette crainte, Roy a déjà tellement souffert...

Elle se leva et alla vers la fenêtre.

- Qu'il soit accusé de ses actes alors qu'il n'en ai pas responsable, j'ai peur que ça influance sur sa propre confiance en lui.

- Tu m'honore par de tel paroles ma chère. Quoi qu'il en soit, fait lui confiance et reste près de lui, ta présence sera pour lui la meilleur garantie qui puisse être.

Suivant du regard les déplacement de Lyndis, "Ulairi" vint reprendre place sur sa chaise.

- Tout ce que tu peux faire c'est rester auprès de lui pour l'encourager et faire en sorte qu'il ne perde pas confiance en lui à cause des événements qu'il crée parce qu'il est sous l'influence de son épée.

- c'est plus facile à dire que faire tu sais, les autres habitants des lieux sont en colère contre lui à cause de ce qu'il a fait à l'un ou plusieurs d'entre eux. Mais ce n'est pas sa faute...

Elle posa sa main sur la vitre.

- Laisse leurs du temps, je suppose qu'il a tout de même du expliquer sa situation à quelques personnes. Il est plus facile de détester quelqu'un que de l'apprécier, mais du vraiment ceux qui habite ici ne l'appréciait pas, il y a longtemps qu'il aurai déjà repris la route, tu ne pense pas?

"Ulairi" porta son regard vers Lyndis, essayant de la rassurer d'un léger sourire.

- Allez, détend-toi. Tu va te faire du mal à te torturer l'esprit de la sorte.

- Même s'ils seraient tous à dos contre lui, il n'avait nul part où aller, je pense que c'est parce qu'il n'avait pas le choix, s'il restait. Notre royaume a été détruit et il ne savait pas si nous étions vivants ou non. C'est pour cela qu'il n'est par partit.

Elle soupira à nouveau comprenant que la situation de son fils était loin d'être facile.

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