Contamination

Den ne pu s'empêcher de rire, amuser par les propos de Ren

- Tu es bien trop méfiante. Tu n'as pas a te faire le moindre souci car jamais au une fille quel qu'elle soit ne saura ne voler a toi.

Néanmoins, il le pu réfréner un frisson qui le gagna quand sous le traitement que lui offrait Ren, celle-ci semblant bien s'amuser de ses gestes.

- Tu es divine dans ta façon de faire... Il n'y a que toi pour le faire ainsi plaisir.

Ren releva légèrement le regard.

- On ne peux prévoir ce qui va se passer dans le futur.

Après ses paroles, elle retourna s'amuser avec l'atout de son mari, venant à le mettre entier dans sa bouche, accélérant ses mouvements.

Fixant son épouse, il se contenta d'hausser les épaules.

- J'ai déjà vécu des siècles sans jamais changer de point de vu, pourquoi est-ce que cela devrait changer maintenant?

Souriant a son épouse, il finit par jeter la tête en arrière dans un léger soupire de plaisir, apprécient grandement les caresses qu'elle lui offrait

- Ne chercherais-tu pas a me faire perdre mes moyen? Prends garde... je serais bien capable de te dévorer en entière.

- Allez savoir ce que l'avenir nous réserve.

Elle lui sourit, continuant plus rapidement son petit jeu.

- Mais c'est ce que j’attends mon cher, que tu me montre de quoi tu es capable, mais aussi que tu me prouve que tu m'aime bien plus que Touka.

Preferabt ne rien rajouter sur le sujet, Den vint retenir un léger gémissement de plaisir, plantant par réflexe ses griffe dans la housse de du lit.

- Tu es encore la dessus? Ma pauvre... être jalousé de t'as propre fille, n'as tu pas honte?

Profitant d'une petite inattention de son épouse, il vint la tirer vers lui, l'attrapant par la taille pour venir lui voler un baiser bien fougueux, alors qu'il l'allongeait sur le lit la ou était ça place avant.

- Il n'est pas bien de jalouser ta propres fille ma chère, ce que je te fais a toi, je ne le lui ferrais jamais.

Caressant les hanche de sa belle, il lui écarta légèrement les jambes pour s'installer a son aise entre ses cuisse, venant prendre possession de la fleur de son épouse en entrant en elle d'un coup, commencent a bouger sans être brusque et sans quitter ses lèvres.

- Je ne partage pas mon mari c'est tout. Et encore moins quand je suis en manque de câlin.

Elle se laissa faire, gémissant de plaisir sentant son époux venir s'installer en elle. Elle croisa ses mains dans le dos de Den, le serrant contre elle tout en l'accompagnant dans ses mouvements.

-Voila qui est un peu mieux, mais c'est pas encore ça.

Elle sourit, le provoquant un peu.

- Mais je n'ai jamais dis que tu devais me partager. En tout cas certainement pas sur ce terrain en particulier.

Continuant ses mouvement, il quitta les lèvres de sa belle pour venir s'amuser sur son cou, mordillant sa chaire au point de la faire légèrement saigner, léchant par la suite les petite gouttelette qui se faisait connaître.

- Mais ça on le sait que tu es un éternel insatisfaite. Ce n'est pas chose nouvel même en depuis des siècle passer.

Riant entre deux coup de langue sur la gorge de son épouse, il eu les main baladeuse jusqu'à sa poitrine, caressant ses colline de ses griffes, laissant par moment ses griffes marquer sa peau si fragile pour laisser quelque petit sillon rougeoyant.

- En quelque sorte, j'ai eut le temps de m'entrainer.

Elle sourit, se taisant sur le sujet par la suite.

-Je sais que tu peux y arriver, juste y mettre du tiens.

Directement après ça, elle pencha la tête en arrière appréciant le traitement de son compagnon, elle l'appréciait tellement qu'elle ne pouvait pas s'empêcher d'aller jusqu'à écraser son compagnon sur contre elle.

Den afficha une mine intriguée mais préféra ne pas s'éterniser sur la chose, ayant bien d'autre idée en tête.

- Je n'ai pas besoin d'y mettre du mien, disons simplement qu'on va éviter de te dévorer toute crue alors que je pourrait grandement m'amuser avec toi et te faire subir bien d'outrageuse idées.

Gardant un léger sourire en coin de lèvres, il vint légèrement se redresser et attrapa Ren par la taille pour la faire se courber un peu plus, reprenant place en elle avec plus de brutalité, se glissant toujours au plus profond de sa sublime fleur.

- C'est que tu nous offre la une vue des plus belle qui soit. Ne t'attend pas a ce que je t'accorde le moindre répit tant que je ne serais pas satisfait de ta personne. Je te ferais hurler de plaisir et de toute les façon si tu le souhaite.

- Mais je n'attend que ça, poussin...

Elle laissa filer un gémissement plus fort que les précédents.

- Hurler, perdre la raison, c'est ce que j'attends, me perdre en toi.

Elle le regarda droit dans les yeux.

- Je suis tienne, alors fait en bonne usage, sa serait dommage de l'abîmer.

» Contamination