le retour tant attendu [+18]

- pas besoin de te présenter je sais qui tu es.

Il se mît a écrire dans son cahier.

- je sais pas mal de chose. Mais je doute que tu sache qui je suis par rapport a toi.

Den resta bien stoïque en voyant l'attitude presque nonchalante de Takuma.

- He bien tant mieux, je n'aurais donc pas besoin de perdre mon temps en explication futiles.

Il se contenta de croiser les bras, haussant les épaules sans être plus intéresser que cela.

- Entre nous soit dis, ma mémoire fut sceller par pour propre père, du coup, il est encore normal de ne pas réussir a ne souvenir de tout. Il se pourrait probablement que je n'arrive jamais à me souvenir de tout, mon père ayant emporter le secret avec lui dans sa tombe.

Takuma bailla de nouveau.

- Je suis ton frère.

Il ferma son cahier et le rangea dans sa poche.

- Mais je suis trop fatigué pour discuter de tout le tralala du pourquoi du comment.

Il monta sur le toit et s'y allongea, les mains derrières la tête.

Invité

Au cours de sa promenade dans la forêt ...Armando se mit soudain à avoir faim et soif. il avait tellement couru à en perdre haleine pour venir en aide à un groupe de jeunes gens qu il avait complètement oublié qu'il n'avait pas encore dîner et lui faudrait recouvrer des forces pour rejoindre sa soeur Lucia qui devait sûrement se demander où se trouvait son frère à l'heure actuelle...Il aperçut une taverne et se décida à y entrer...

Holà l'aubergiste du vin vieilli en fût et un repas copieux et une de tes servante pour moi et la bourse sera à toi j'ai grande faim et il me faut des forces pour reprendre la route...

La finesse dont faisais preuve Takuma dans ses explication était d’une élégante, à tel pour que Den ne sut être autrement que stoïque, essayant au mieux par lui-même de comprendre le pourquoi du comment, bien que c’était chose difficile, et ce n’était pas son « frère » qui allait le faire, disant être trop fatigué.

- On en apprend vraiment tous les jours...

Mais il n’eut même pas le temps de lâcher un soupire qu’un étrange énergumène déboula de nulle part, hurlant moult phrase, toute plus dégradante les unes que les autre.

- Pour ta gouverne, Monsieur, ici le servir n’est pas à la table et encore moins quand on manque ainsi de finesse et de politesse.

Touka fut prise d'un soudain malaise, elle se força à s'allonger, elle était pliée en deux tellement que la douleur était grande. C'était comme si on lui perçait le coeur de l'intérieur.

- Qu'est-ce qui m'arrive...

Une lumière jahi de son corps lui arrachant un cri de douleur, le manche d'une épée sorti de son coeur.

Takuma se redressa, entendant des cris de douleur.

- Hey, Denmachin, il y a un problème.

Il sauta du toit et alla vers la j eune fille.

- Là, il y a un problème.

Invité

Je me sens comme surpris par la réponse du tavernier. Il me dit que je manquais de finesse et de politesse mais je ne vois pas comment j aurai pu formuler autrement ma demande après avoir eu moi même recu un manque de courtoisie évidente du jeune groupe rencontré plus tôt dans la journée...

- Alors l'aubergiste comment suis je sensé prendre commande ?!? en me prosternant à tes pieds peut être je n ai pas l'impressiom que le reste de tes clients l aient fait avant de pouvoir enfin recevoir ce qu ils avaient payé. Accepte la bourse et apportes moi ce que tu as de meilleur ou je ferai courir par le monde une réputation sur ton hospitalité qui fera fuir les plus riches de ce monde...Par contre si tu me donne c que j attends j irai de ce pas conter combien il fait bon s y arrêter dans ton auberge...Je veux bien concevoir l'idée que l'arrivée d'un étranger te perturbe mais je n en suis pas moins un de ses sens la pisse que tu as l air d accepter habituellement sans mauvais jeux de mots. Je fais partie de l'élite italienne quand même...donc je te prierai volontiers d'accéder à ma demande...

En finissant mon discours j'espérais vivement que l'hotelier accède à ma demande afin que je puisse enfin quitter ces terres étranges et retrouver ma chère petite sœur qui devait attendre mon retour avec impatience.

Alors que son attention avait été attirée par se soudain cri dont il reconnut la voix de sa fille, Takuma semblait avoir lui aussi intercepté le cri, sautant aussitôt du toit en direction de la grange, alors que le nouvelle arrivant confondit Den avec le tavernier de l’établissement.

- Clame ce que tu veux comme réputation, tout le monde connais l’hospitalité légendaire des elfes. Et pour ta gouverne, je ne suis ni aubergine, ni tavernier. Tu t’adresses à un garde du corps, donc s’il te faut passer commande, adresse toi à quelqu’un d’autre, je ne suis absolument pas en rapport avec la tenancière des lieux, ou prend ton mal en patience.

A ses mots, il se précipita à son tour vers sa fille qui se trouvait dans la grange, écarquillent grand les yeux en voyant le manche d’une épée lui sortir du cœur.

*Qu’est-ce que c’est que ce délire ?!*

- Touka ! Est-ce qui t’arrive ?! Tiens bon !! On va trouver une solution !!

Jetant un regard hâtif à la situation, il ne savait pas vraiment quoi faire, craignant que s’il touchait à l’épée, la jeune fille n’en souffrirait que d’avantage. Néanmoins, il se dit que pour le moment, c’était la seule chose à faire.

- Ecoute, si jamais cela te fait mal, dit le tout de suite !

Bien qu’hésitant, Den porta sa main au manche de cette épée qui sortait de Touka, refermant sa main sur le manche, bien qu’hésitant à faire bouger la dit épée.

Touka serrait les dents incapable de dire quoi que ce soit. Elle parvint quand même à dire quelque chose.

- Accepte-tu mon coeur ?

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