le retour tant attendu [+18]

Emyline frisonna visiblement dégoutée de ce qu'elle avait vu.

- Je préfère plus y penser moi...

Eikichi ne pouvait que se montrer compatissant avec Emyline avec ce qui venait de se passer. Gardant son étreinte sur sa femme, il vint lui frotter le dos.

"Allez, on se reprend ! Dit toi que cela est arrivé une fois et qu’il n’y aura pas de seconde fois."

*Tout du moins... je l’espère… *

Elle posa sa tête sur le torse de son époux l'enlaçant, elle ferma les yeux comme si elle voulait rester dans ses bras et ne jamais les quitter.

Eikichi vint caresser d’une main la joue de son épouse, gardant son étreinte sur elle, voulant au mieux la rassuré de ce petit moment de cauchemar qu’ils avaient du enduré.

"Allez, détend-toi mon amour. Le pire est derrière nous et rien de plus ne pourra arriver. Jamais rien ne viendra nous séparer, c’est une promesse que je te fais et tu sais bien que je fais toujours en sorte de tenir mes promesses !"

- Je le sais poussin, je le sais, mais j'ai tellement eut peur de te perdre.

Elle laissa s'échapper une larme.

- Voler ainsi notre intimité, ça me fait tellement mal. Je me sens si mal maintenant.

D’une main, Eikichi vint retirer la larme qui s’échappait le long de la joue de son épouse.

"Allons... ne pense pas non plus dans les extrême... Je comprends ton sentiment par rapport à ce qui s’est passé mais... ne te sens pas ainsi. Essai plutôt de garder ne tête qu’il ne s’agit que d’un mauvais rêve et que tout est oublié..."

- tu as raison.

Elle releva la tête, embrassant son époux.

- Qu'est-ce que je deviendrai sans toi.

Eikichi se permit un léger rire suite au doux baisé de son épouse.

"Ne me pose pas cette question, moi-même je ne saurais quoi te répondre. Déjà que je suis un cas bien particulier dans mon domaine, je préfère ne même pas m’aventurer dans ce genre d’imaginaire, au risque de me faire plus de mal qu’autre chose"

- Tu es mon cas spéciale à moi.

Elle l'embrassa à nouveau, lui caressant la pointe de ses oreilles.

Eikichi se permit presque un petit ronronnement suite à la caresse de son épouse.

"Comme tu le dis, un cas plus que spécial qui n’a qu’une appartenance..."

Il l’embrassa à son tour.

"Une appartenance rien qu’à toi mon petit ange."

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